8 idées de cadeaux communs personnalisés

Photo : Tyler NixUnsplash

Les cadeaux communs, a priori c’est super. Cela permet d’avoir un budget plus conséquent, et cela évite à tout le monde de se creuser la tête pour trouver des cadeaux individuels.
Sauf que si cela ne plaît pas, il n’y a pas d’autre cadeau pour rattraper le coup. Mieux vaut donc ne pas se tromper !

En pratique, il y a plusieurs écoles. 
  • Dans les démarches de cadeaux communs, il y a ceux qui optent pour directement offrir le montant de la cagnotte et laisser la personne en faire ce qu’elle veut. Auquel cas il n’y a aucune assurance de savoir ce que la personne en a réellement fait. 
  • Ceux qui choisissent d’offrir le montant de la cagnotte en l’accompagnant d’un faux « bon pour ». Type « bon pour un appareil photo ». Mais, pareil, il y a toujours des chances pour que la personne ne suive pas l’indication et en fasse finalement autre chose. Et là, qui est déçu ? Et bien les participants au cadeau pour qui cela a de l’importance de savoir ce qu’on fait de leur argent (ceux qui ont donné de l’argent pour ne pas avoir la contrainte de chercher un cadeau par politesse s’en fichent un peu plus).
  • Ceux qui se démènent pour trouver le cadeau parfait.

Et dans la quête du cadeau parfait, plusieurs points sont à prendre en considération.
  • Est-ce un cadeau commun pour un couple ou pour une personne seule ? 
  • Est-ce un cadeau commun pour une femme ou pour un homme ?
  • Est-ce un cadeau commun pour un enfant, un trentenaire ou encore pour des grands-parents ?
  • À quelle occasion ce cadeau est-il destiné ? Est-ce un cadeau commun pour un anniversaire, pour un enterrement de vie de jeune fille, pour un mariage, pour un baptême… ?

Ici, nous allons nous concentrer sur des idées de cadeaux communs pour des couples, plutôt entre 50 ans et plus. Ce sont en effet des âges où les choses matérielles commencent à avoir moins d’importance, où la stabilité financière est généralement établie et où on peut donc s’offrir plus facilement ce que l’on aime, et où il est donc encore plus difficile de trouver des idées de cadeau. Les parents et grands-parents ont en effet souvent déjà tout ce dont ils ont besoin, et les choses émotionnelles et expériences à partager deviennent par contre plus importantes. 

1. Un week-end

Location de gîte, Relais & Châteaux, parcs de loisirs… tout est possible. Une idée super pour jouer sur l’émotionnel est de se rendre dans un lieu où les parents ou grands-parents sont déjà allés il y a longtemps et duquel ils gardent un souvenir mémorable. Y retourner avec leurs proches les touchera sûrement beaucoup.
Avantage : c’est un cadeau dont tout le monde profite.
– Inconvénients : sûrement le cadeau qui demande le budget le plus important et pour lequel les participants doivent également payer leur part.

2. Un abonnement mensuel à une box

Livraison de fleurs, livraison de vin… selon les goûts, c’est un cadeau qui crée la surprise et fait plaisir chaque mois (durée selon le budget).
– Avantage : c’est un cadeau commun qui dure dans le temps. La livraison de fleurs fonctionne bien en cadeau commun pour une grand-mère par exemple.
– Inconvénient : pour que le cadeau dure le plus de mois possible, il vaut mieux être nombreux ou prévoir un bon budget.

3. Un arbre à planter (ou à faire grandir)

Idéal pour ceux qui ont la main verte et qui aiment les symboliques. Olivier, pommier, ginkgo, magnolia… il existe énormément d’arbres avec de jolies significations. À adapter selon les personnes et les goûts.
– Avantage : c’est un cadeau commun qui dure dans le temps.
– Inconvénients : s’assurer que la personne ait l’espace pour recevoir ce cadeau qui prend de la place.

4. Un cours ou un stage 

Cuisine, dégustation du vin, forge, poterie…De nombreux stages et cours existent dans beaucoup de domaines. À adapter en fonction des centres d’intérêt.
Avantage : c’est un cadeau commun auquel plusieurs personnes peuvent prendre part.
– Inconvénient : s’assurer que l’aspect « apprentissage » plaise au destinataire du cadeau.

5. Un moment de détente dans un Spa

Facile à mettre en place, et facile à adapter en fonction des goûts et des budgets. Sauna, hammam, massage relaxant ou tonique, soins, formule complète…
– Avantage : ce sont des cadeaux communs dont tout le monde peut facilement profiter.
– Inconvénient : tous les participants doivent également payer leur part.

6. Une montre, un bijou, un sac à main

Ce n’est pas le cadeau le plus original, mais c’est quelque chose de précieux qui marque et qui peut se faire personnaliser.
– Avantage : c’est un cadeau commun qui reste et qui peut transmettre.
– Inconvénient : si c’est un cadeau surprise, il faut bien cibler les goûts de la personne
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7. Une bouteille de l’année de naissance

Vin, cognac, champagne… pour les amateurs de vins et spiritueux c’est une jolie attention qui peut se consommer ou se conserver.
– Avantages : c’est un cadeau personnalisé qui dure et qui peut même rester si’l n’est pas consommé.
– Inconvénient : certaines années de naissance peuvent être difficiles à trouver.

8. Un recueil de souvenirs 

Il s’agit d’un élégant livre qui regroupe les souvenirs les plus marquants des parents ou des grands-parents avec leurs enfants et leurs proches. C’est un condensé de témoignages d’amour et d’affection touchants et émouvants à découvrir et à redécouvrir à l’infini. Plus d’infos ici.
– Avantages : c’est un cadeau commun qui reste, un cadeau sur-mesure et un cadeau dans lequel chaque participant laisse une trace. Un cadeau idéal pour un couple.
– Inconvénient : les participants doivent avoir envie de s’investir un minimum dans ce cadeau afin d’apporter la matière nécessaire à la rédaction du livre.

Conseils pour écrire un discours en l’honneur d’un proche

Photo : Sarandy Westfall – Unsplash

Que cela soit pour rédiger un discours de mariage, écrire un texte d’hommage pour des funérailles, ou partager un souvenir pour un anniversaire, il est souvent difficile de trouver l’inspiration. Entre l’impression de raconter quelque chose d’inintéressant et la peur de ne pas suffisamment toucher, il est facile de se censurer. Cet article a donc pour but de vous guider. À la fois pour sélectionner un ou plusieurs souvenirs à raconter, mais également pour vous aider dans l’exercice de rédaction.  

Quelques pistes pour démarrer votre discours :

  • Comment avez-vous rencontré cette personne ?
  • Quels sont vos meilleurs moments avec elle ?
  • Avez-vous vécu un événement joyeux et/ou difficile qui vous a rapproché ?
  • Avez-vous partagé une activité ou une passion ensemble (sport, cuisine, exposition, restaurant…) ?
  • Vous a-t-elle appris quelque chose ? 
  • Lui donnez-vous un surnom (qui pourrait être à l’origine d’une histoire amusante) ? 
  • Y a-t-il quelque chose que vous associez immédiatement à elle (une ville, un pays, une blague, une chanson, un vêtement, un plat…) ?
  • Y a-t-il un événement auquel vous étiez ensemble et durant lequel il s’est passé quelque chose de particulier (voyage, anniversaire, Noël…) ?

Où trouver l’inspiration ?

  • Dans vos photos : plongez-vous dans les photos de votre téléphone, de vos albums ou encore de celles sur vos murs… Elles vous rappelleront peut-être des souvenirs et des anecdotes pourraient alors resurgir.
  • Dans vos boîtes à souvenirs : peut-être retrouverez-vous un vieux ticket de concert, ou encore le bouchon d’une bonne bouteille de vin que vous avez bu lors d’un dîner.
  • Sur vos étagères : un objet, une plante, un tableau… vous évoquera peut-être quelque chose.

Quel ton utiliser ?

  • Drôle, émouvant, insolite, touchant, époustouflant, surprenant… Tous les registres sont les bienvenus du moment que cela fait sens pour vous. 
  • Surtout, il faut bien garder en tête qu’il n’y a pas de bons ou de mauvais témoignages, surtout s’ils sont partagés avec sincérité. Ne vous mettez aucune barrière, racontez ce qui vous touche et cela devrait toucher en retour.

Comment structurer votre texte ? 

  1. Votre discours peut commencer par une présentation de qui vous êtes par rapport à la personne concernée, depuis quand vous la connaissez…
  2. Racontez une anecdote / votre rencontre en la détaillant autant que possible et en l’introduisant par un « je me souviens » pour enclencher facilement l’écriture.
  3. Terminez votre texte par ce que la personne représente pour vous, ce qu’elle vous inspire, ce que vous aimez chez elle.
  4. Selon le contexte, vous pouvez également lui souhaiter quelque chose pour le futur.

Si malgré ces conseils vous n’êtes toujours pas à l’aise pour rédiger votre discours, je peux vous aider dans cet exercice. Par ailleurs, ces informations peuvent également vous servir de base pour la réalisation d’un livre de souvenirs pour un proche.

Comment créer son livre de cuisine personnel ?

Photo : Todd QuackenbushUnsplash

Il est question ici de réaliser un livre de cuisine pour une utilisation personnelle, il ne s’agit pas de créer un ouvrage à vocation commerciale. La question de la publication ne sera donc pas abordée. L’idée ici est de regrouper vos recettes préférées dans un seul et même objet, pour ne plus avoir à chercher sur Internet ou dans votre multitude de livres pour retrouver la fameuse recette des crêpes que vous réussissez à tous les coups.
D’ailleurs, que vous cuisiniez ou pas, il y a certainement des recettes que vous aimez manger, ou d’autres, plus sentimentales, qui vous tiennent particulièrement à cœur. Mais alors, pourquoi en faire un livre et pas simplement les écrire dans un cahier ou les mettre dans un classeur ? Tout simplement pour pouvoir en imprimer le nombre que vous souhaitez, et ainsi pouvoir l’offrir à vos proches. Cela permet de pouvoir vous relire facilement, et, bien sûr, un livre rigide est un bel objet qui est facile à manipuler et à exposer.

Voici donc les différentes étapes de création pour réaliser votre propre livre de cuisine.

ÉTAPE 1 : RECENSER LES RECETTES

D’abord, recensez toutes les recettes que vous aimez. Dans un premier temps, ne vous bridez pas, voyez large. Regroupez, vos propres recettes inventées, celles de votre famille, celles découvertes dans un restaurant, celles de vos livres de cuisine préférés… Les recettes n’ont pas besoin d’être originales ou d’être de vous, c’est votre livre privée et la question des droits d’auteur ne se pose pas. C’est comme si vous recopiiez les recettes dans un cahier sauf que là ça sera dans un livre imprimé.

ÉTAPE 2 : SÉLECTIONNER LES RECETTES

Ensuite, si vous vous retrouvez avec vraiment beaucoup de recettes et que l’ensemble n’est pas très cohérent, essayez de trouver un point commun au plus de recettes possible. Par exemple, vous avez une grande quantité de recettes méditerranéennes, ou de recettes de famille, ou de recettes que vous avez créées, ou encore uniquement des recettes de desserts… Cela vous permettra de ne garder que les recettes correspondant à ce thème et de vous donner une ligne directrice pour la mise en page et le style général du livre. Toutefois, l’objectif étant de vous approprier ce livre et qu’il vous ressemble, si aucun thème ne se dégage et que vous n’arrivez pas à supprimer de recettes, ce n’est pas gênant, ne cherchez pas un fil conducteur à tout prix.
Concernant la quantité de recettes à sélectionner, une quinzaine seront a minima nécessaires pour pouvoir imprimer un livre à couverture rigide. Il faut en effet un nombre de pages minimum pour pouvoir produire ce genre d’ouvrage. Et puis, plus il y aura de recettes, plus le rendu du livre sera élégant, qualitatif, et fera « vrai ». Il n’y a pas de nombre idéal de recettes, vous faites comme vous le sentez. Toutefois, si vous arrivez à regrouper une cinquantaine de recettes, cela vous offrira un livre épais (mais pas trop), avec une bonne tenue, et proche de beaucoup de livres que vous trouvez dans le commerce. 

ÉTAPE 3 : ORGANISER LES RECETTES

Maintenant que vous avez sélectionné les recettes que vous souhaitez faire figurer dans votre livre, il faut que vous les organisiez. Le plus simple est la classification classique : entrée / plat / dessert. Mais peut-être que vous devrez ajouter d’autres catégories comme « petit-déjeuner », « goûter », « boisson », « apéritif »… À vous de voir ce qui vous semble le plus pratique, ce qui correspond le plus à votre façon de rechercher les choses et ce qui vous inspire le plus. 

ÉTAPE 4 : ILLUSTRER LES RECETTES

Si vous souhaitez illustrer vos recettes, vous pouvez bien sûr prendre les photos de vos plats vous-même, sachant que cela demande beaucoup de temps pour faire de jolis clichés. En effet, si le résultat n’est pas agréable à regarder il vaut mieux s’abstenir. Il vaut mieux un joli livre sans image, plutôt qu’un livre avec des photos peu esthétiques. 
Une autre option est de vous rendre sur des banques d’images (gratuites ou payantes) et de trouver des photos proches de votre recette. Pour les recettes classiques comme des crêpes, la photo n’a en effet pas besoin de montrer votre crêpe à vous. En revanche, si vous souhaitez illustrer l’une de vos créations, vous aurez peu de chance de trouver une photo ressemblante. La solution peut alors être de n’illustrer qu’un ingrédient de la recette, ou encore de choisir une photo plus conceptuelle qui sera simplement là pour « faire joli », mais pas pour représenter votre plat. Si votre livre ne comprend par exemple que des recettes japonaises, vous pouvez mettre des photos du Japon. Cela égayera le livre sans dénaturer vos recettes.

ÉTAPE 5 : NOMMER LES RECETTES

Maintenant que vous avez organisé vos recettes et que vous leur avez attribué — ou non — une photo, vous devez les nommer. L’idée est d’avoir une cohérence entre toutes les recettes et donc de toutes les nommer dans le même esprit. Si vous choisissez un énoncé moderne qui met en avant le produit, type « Artichaut et foie gras », faites-le partout. En revanche, si vous préférez un énoncé plus poétique, comme « Rosace d’artichauts et son nuage de foie gras fondant », faites-le partout également.  

ÉTAPE 6 : RÉDIGER LES RECETTES

L’une des parties les plus fastidieuses est maintenant la rédaction des recettes en elles-mêmes. Que vous les recopiiez ou que vous les ayez créées, il est important qu’elles soient toutes structurées de la même manière et rédigées de la même manière. Par exemple, soit vous n’utilisez que des verbes à l’impératif (prendre, ajouter, mélanger, faire cuire…), soit vous n’utilisez que la deuxième personne du pluriel (prenez, ajoutez, mélangez, faites cuire…). 

ÉTAPE 7 : CRÉER UN SOMMAIRE

Maintenant que vos recettes sont organisées et rédigées, vous pouvez créer un sommaire en début de livre afin de les retrouver rapidement. Par ailleurs, le fait de visualiser votre répartition vous permettra peut-être de vous rendre compte que votre organisation n’est pas équilibrée, avec, par exemple, 3 recettes en entrée et 15 en plat. Peut-être qu’une autre organisation sera alors plus pertinente. 
Par ailleurs, une fois que vous aurez terminé votre mise en page et que votre pagination sera définitive, vous pourrez reporter le numéro de la page en face de chaque recette. Ne le faites qu’à la fin, car tant que votre mise en page n’est pas terminée tout peut encore bouger. Il suffit de rajouter une seule page au début de votre livre pour que toute la pagination en soit impactée.

ÉTAPE 8 : CRÉER UN INDEX

Cela n’est pas primordial, mais vous pouvez décider de faire un index à la fin de votre livre. Cet index est totalement subjectif et vous permet de rechercher des recettes par mot-clé. Le plus souvent, les index sont réalisés par produit. C’est un travail assez fastidieux, car vous devez recenser toutes les recettes de votre livre qui comprennent ce produit, et reporter le numéro de la page en face. Une autre façon de créer votre index est de le faire par catégorie. Par exemple, toutes les recettes végétariennes, celles sans porc, celles pour les enfants ou encore celles adaptées aux femmes enceintes. Faites cet exercice en fonction de vos habitudes alimentaires afin de vous faciliter la vie. 

ÉTAPE 9 : RÉDIGER UNE PRÉFACE

L’une des dernières étapes avant de passer à la mise en page du livre est la rédaction de la préface. Cette introduction vise à présenter l’auteur du livre et son approche. Toutefois, dans le cadre d’un livre personnel, ceci est optionnel. En effet, si le livre n’est destiné qu’à votre usage personnel, vous n’avez aucunement besoin de vous présenter à vous-même ! En revanche, si vous comptez l’offrir à vos proches, cela peut être pertinent de rédiger un petit texte pour expliquer votre démarche (une volonté de transmission, un cadeau…).

ÉTAPE 10 : DONNER UN TITRE AU LIVRE DE CUISINE

La dernière étape avant d’attaquer la partie graphique du travail est de donner un titre à votre livre. Ce point arrive ici à la fin, mais, selon votre inspiration, le titre pourra s’imposer de lui-même n’importe quand. En fonction de la thématique que vous aurez éventuellement choisie, des titres de vos recettes et des photos qui y sont associées, un titre général se dégagera peut-être naturellement.

ÉTAPE 11 : CHOISIR LE FORMAT DU LIVRE 

La partie technique de la création du livre commence maintenant. Tout d’abord, vous devez choisir le format de votre livre. Du format poche au très grand livre, tous les formats sont possibles. Néanmoins, quoi que vous choisissiez, pensez encore une fois « pratique ». Votre livre doit pouvoir se ranger, s’exposer et se manipuler facilement. 

ÉTAPE 12 : FAIRE LA MISE EN PAGE DU LIVRE

La partie la plus complexe de la création de votre livre de cuisine personnel est certainement la mise en page de l’ouvrage. Si vous ne maîtrisez pas un minimum les logiciels de création graphique cela va être laborieux et surtout cela va vous limitez dans la conception graphique. Si cela n’est pas dans vos compétences, vous pouvez demander de l’aide ou passer par un professionnel (graphiste, directeur artistique ou maquettiste). En tout cas, sachez que vous devez réaliser votre couverture et votre dos séparément des pages intérieures du livre (la plupart des imprimeurs vous donnent des gabarits pour cela).

ÉTAPE 13 : RELIRE LE LIVRE 

Une fois votre livre mis en page, il va falloir le relire plusieurs fois. Plus votre livre aura de pages et plus vous aurez de chance de trouver des fautes de frappe ou des fautes d’orthographe. N’hésitez donc pas à demander à vos proches de faire une relecture pour avoir un œil extérieur. 

ÉTAPE 14 : IMPRIMER LE LIVRE

Enfin, la dernière étape, mais pas des moindres. Vous devez faire imprimer votre livre. Vous devrez alors choisir quel type de papier vous souhaitez utiliser. Pour un livre de cuisine, il est préférable d’utiliser un papier assez épais avec un pelliculage afin d’être bien résistant face aux nombreuses manipulations du livre et aux tâches de cuisine qui pourraient arriver. Pour cela, renseignez-vous auprès des imprimeurs de votre région ou regardez sur Internet les services d’impression en ligne.

Réaliser un livre de cuisine est, au final, un travail très long, un travail créatif et un travail technique. Du coup, si vous ne vous sentez pas de le faire vous-même, je vous propose de le faire pour vous. Vous trouverez ici les services que je propose pour réaliser un livre de cuisine totalement sur-mesure.